La pâtisserie orientale, un met qui explose en bouche
Gourmands, généreux, sucrés, sensuels, séducteurs, les gâteaux orientaux sont bien plus qu’un simple dessert ! Ces bouchées venues des pays du Nord de l’Afrique sont une boîte de Pandore de la gourmandise. Tel un conte des mille et une nuits qui fait frémir, ils font saliver, pétiller et émoustillent les papilles. Focus sur un péché mignon pour lequel il n’est pas nécessaire de prendre l’avion pour s’en délecter.
Un choix à faire tourner plus d’une tête
Carrés aux amandes et au miel, ghoribas, cornes de gazelle, chebakia à l’anis, mlanchas aux amandes, cigares au miel et à la fleur d’oranger, makrouts en baklava et autres m’cheweeks notamment, tous sans exception sont de véritables petits bijoux protégés dans un écrin de cannelle et de miel.
Les pâtisseries orientales sont diverses et variées. Cependant, on retrouve généralement des ingrédients communs tel que les amandes, les pistaches, les noix, les dattes ainsi que les graines de sésame. Très sucrées, riches en saveurs, peu importe pour la ligne ! Elles se savourent, se dégustent sans complexe du bout des doigts pour ravir le cœur des plus gourmands. Et pour cause, ce qui compte c’est leur goût irrésistible.
En un mot, c’est tout simplement exquis.
Ramadan ou pas, prendre le temps de croquer à pleine dents dans l’un d’eux est un ravissement tant pour les yeux que pour les papilles gustatives. Se damner pour l’un d’eux, c’est tout simplement goûter aux délices de la cuisine orientale et, le temps d’un instant, mettre le cap au Moyen-Orient. Et ce, même si ce sont des gourmandises qui se dégustent traditionnellement lors de la fête de l’Aïd ou les mariages.
Et, pour qu’en bouche cela soit un feu d’artifices de saveurs, ces petits gâteaux sont délicieux autour d’un délicat thé à la menthe. Cet emblème de l’Afrique du Nord – qui diffère d’une région à l’autre, d’une famille à l’autre – est un accompagnement incontournable pour que tous goûtent à ce festin de douceurs irrésistibles. Mieux vaut alors – pour parfaire la dégustation – opérer avec soin le cérémoniel du thé.